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Article graisse à traire

Graisse à traire, monoï… quels dangers ?

Graisse à traire, monoï, huiles parfumées aux senteurs exotiques : ces produits ont la cote sur les réseaux sociaux et dans les valises. Mais derrière leur promesse de peau dorée, il s’avère que leur utilisation n’est pas sans risque, pour votre peau ET votre santé 😕. Mais d’abord, faisons un arrêt sur l’histoire de ces huiles.

Graisse à traire, monoï et compagnie : une histoire de bronzage

À la base, la graisse à traire n’a rien d’un cosmétique : c’était un produit destiné… aux vaches laitières 🐄 , pour éviter le dessèchement des pis ! Très vite, les adeptes du bronzage l’ont détournée, séduit.es par son effet brillant et l’impression de bronzer « plus vite ». Même logique pour le monoï d’ailleurs. Fabriquée à partir de fleurs de tiaré et d’huile de coprah raffinée, elle était à l’origine conçue pour nourrir la peau et les cheveux… En Polynésie Française, où elle est traditionnellement produite, on la surnomme “huile sacrée”. Ce n’est que récemment que le monoï s’est vu propulsé comme « accélérateur de bronzage ». Pourtant, l’utilisation du monoï comme de la graisse à traire présente de nombreux risques pour la santé, souvent trop sous-estimés…

Les dangers des huiles bronzantess

Graisse à traire, monoï : quels dangers pour votre peau ?

Premier problème : les jolies bouteilles n’indiquent pas toujours un élément pourtant crucial pour les consommateurs et consommatrices :  ces huiles ne protègent pas des UV !
Certaines huiles, comme le monoï, ont un indice de protection solaire quasi nul, autour de SPF 3 à 5. C’est clairement insuffisant pour filtrer les UV, surtout lors d’une exposition prolongée. Quelles en sont les conséquences ? D’un point de vue esthétique, s’exposer trop souvent au soleil accélère le vieillissement prématuré de la peau et cause aussi l’apparition de tâches pigmentaires. Plus douloureux, vous risquez aussi d’attraper des coups de soleil, de souffrir de déshydratation cutanée, et dans le pire des cas, des brûlures très sérieuses, parfois accompagnées de cloques… On en parlait en détail dans cet article.

Si les huiles sont clairement déconseillées juste avant l’exposition au soleil, elles sont toutefois idéales en après-solaire 😉 ! Leur action nourrissante permet de réparer la barrière cutanée agressée par les UV et d’éviter la peau qui pèle en cas de coup de soleil.

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Graisse à traire, monoï : quels dangers pour votre santé globale ?

En fait, l’exposition au soleil accélère la production de radicaux libres. Ces molécules réactives endommagent l’ADN, ce qui peut entraîner des mutations et le développement de cellules cancéreuses. La graisse à traire, le monoï et les autres huiles “bronzantes” viennent amplifier ce phénomène, et forcément… décuplent les dommages cellulaires 🫣. C’est ce qu’on appelle l’effet loupe. Alors ceci est un message de prévention : on rêve toutes d’un teint ensoleillé, mais la plus belle peau reste celle qui est respectée. S’il vous plaît, oubliez votre monoï et optez plutôt pour un t-shirt, un parasol et un peu de crème solaire bio, en particulier si vous avez la peau très claire ! Pour savoir comment vous protéger du soleil efficacement, voici un peu de lecture :

>>> Les bonnes pratiques pour se protéger du soleil

Graisse à traire, monoï : des listes d’ingrédients catastrophiques

Outre les dommages du soleil décuplés, les formules des huiles bronzantes posent problème. On retrouve souvent dans leurs compositions des ingrédients dérivés de la pétrochimie : paraffine, vaseline, huiles minérales. Ces composants créent un film occlusif sur la peau, qui empêche la peau de respirer et favorise la déshydratation. Sans oublier que ce sont des ingrédients non biodégradables et qui s’accumulent dans l’environnement au fil du temps… Certaines références contiennent aussi des parfums, des colorants ou d’autres perturbateurs endocriniens

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Sources :

  • ANANTHASWAMY H. & al. Toxic effects of ultraviolet radiation on the skin. Toxicology and Applied Pharmacology (2004).
  • CHAUHAN A. & al. UV-blocking potential of oils and juices. International Journal of Cosmetic Science (2016).
lisa de moom

Women Writer : Lily

Dans la famille de Lisa, on est fan de cosmétiques de mère en fille. Passionnée de féminisme et d’écologie, elle adore mettre sa plume au service des causes qui lui sont chères. Sa curiosité et sa volonté de faire bouger les choses font d’elle une alliée de taille dans la lutte contre les perturbateurs endocriniens !
Pas étonnant qu’elle ait rejoint la team moom …

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