56 millions de tonnes de vêtements sont vendues chaque année dans le monde. Il y en aurait 60% plus d’ici 2050,
Elle possède la triste place de l’industrie la plus polluante au monde,
Plus d’un tiers des microplastiques présents dans nos océans proviendrait du lavage de nos vêtements,
20% des insecticides et pesticides sont utilisés pour nos cultures de coton. Selon l’OMS, 1 million de personnes en sont intoxiquées, 22 000 cultivateurs en meurent chaque année,
17 à 20% de la pollution de l’eau dans le monde est due à l’industrie textile. Elle utilise à elle seule 4% de l’eau potable disponible dans le monde (Il faut en moyenne 7500L d’eau pour un jeans soit 285 douches !)
… et sociétal : travail des enfants, incident du Rana Plaza, salaires indécents, conditions de travail, suicide des cultivateurs (186 000 rien que pour les cultivateurs de coton en 2002)…
1900 substances chimiques se retrouvent dans nos textiles. Plus de 92% ne sont pas encore classées en terme de dangerosité et sont pourtant toxiques pour l’environnement, les travailleurs… Et les peaux vulnérables de nos tout petits comme l’a montré la campagne DETOX de Greenpeace.
Parmi ces substances, on retrouve :
L’union Européenne, depuis 2015 a interdit à l’importation les textiles contenant de l’Ethoxylate de nonylphénol (perturbateurs endocriniens).
Depuis 2005, l’UE a adopté une législation visant à réduire ou arrêter la vente et l’utilisation de certains retardateurs de flamme.
Deborah défend l’écologie, le bio et la biodiversité depuis de nombreuses années. Fatiguée de décrypter des listes d’ingrédients pour ses proches, de voir que le marketing surpasse bien trop souvent la législation ou la sécurité de la future maman, Deborah est habitée par une volonté de fer de changer les choses en commençant par ce qu’elle sait faire de mieux : la cosmétique bio de demain.
moom, la nouvelle génération de cosmétique bio certifiée sans perturbateurs endocriniens