Pourquoi il nous tient à cœur de proposer un produit sain pour les mamans ?
Parce qu’un jour, nous espérons faire partie des 800 000 couples français qui créent la vie chaque année ; sans avoir à se soucier de la sécurité des produits qu’on se met sur la peau. Pour que la jeunesse de demain ait le courage et la force de changer les choses comme des millions de femmes et d’hommes dans le monde, il faut avant tout qu’ils démarrent la vie en bonne santé. Le rôle des futurs parents n’est-il pas de protéger la génération future ?
Il était une fois moom ...
Moom, avant de devenir notre histoire, c’est avant tout la vôtre. L’histoire de milliers de bébés à travers le monde. Des histoires inquiétantes et de plus en plus nombreuses de bébés autistes, diabétiques, souffrant de puberté précoce derrière lesquelles on retrouve ces fameux coupables : les perturbateurs endocriniens. Ils sont apparus en nombre ce siècle et c’est maintenant plus de 100 molécules chimiques qui sont trouvées en moyenne dans le sang des bébés à la naissance.
Le problème est identifié sous des noms barbares : triclosan, silicones, phtalates…
Tous ces composants présents dans nos cosmétiques sont en réalité des perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés et ils sont partout, dans nos crèmes, nos shampoings, notre gel douche…
Mais au-delà des ingrédients chimiques connus, les perturbateurs, sont aussi dans certaines plantes qui créent des oestrogènes. Nous sommes donc partis de ce constat : aussi bio soient-ils, à l’heure actuelle, sur nos étagères de salle de bain, aucun de nos produits ne peut garantir l’absence de perturbateurs endocriniens dans leur formule.
Et même si l’on sait bien que : « rien n’est jamais perdu tant que maman n’a pas cherché », hélas la solution n’existait pas encore.
Alors, on a voulu sortir le grand jeu, tester tous les ingrédients pour s’assurer de leur pleine sécurité, rencontrer les personnes qui étudient les perturbateurs endocriniens, savoir comment les démasquer, comment s’en débarrasser.
Et nous sommes alors tombés sur le test OEDT : l’unique solution fiable connue à ce jour qui permet de détecter en laboratoire la présence des perturbateurs endocriniens oestrogéniques dans les formules.
Mais on s’est dit que pour les générations futures, ce n’était pas suffisant,
qu’elles méritaient encore mieux, qu’il fallait aussi avoir un impact positif sur la nature, la biodiversité, mais aussi sur les personnes.
Pour cela, pendant plus d’un an, nous avons cherché les personnes qui valorisent le patrimoine végétal de la Terre, qui favorisent le travail équitable des femmes, qui ne créent pas de nouveaux plastiques mais s’engagent à les recycler, qui produisent en utilisant des énergies renouvelables, des personnes qui sauvent des mamans et des bébés.
Nous avons cherché, nous avons trouvé et nous avons décidé de créer moom.
Qui se cache derrière moom ?
Samir et moi (Deborah) sommes les créateurs qui se cachent derrière moom. J’ai toujours eu un attrait pour la nature, c’est sans doute cet attrait qui m’a amené à travailler avec (pour?) des singes dans une réserve, à quitter le monde de la mode et à rouler ma bosse dans les cosmétiques bio qui méritaient un petit coup de mode.
Et c’est à ce moment là, que j’ai rencontré : Samir. Il est quant à lui, à l’écoute et d’une incroyable capacité à s’adapter, analyser et emmagasiner toutes les informations (oui je ne suis pas très objective). Les débats sur l’environnement, les conditions sociales ont occupé quelques-unes de nos nuits.
« Mais c’est après la découverte de mon endométriose que la chasse des perturbateurs endocriniens dans la salle de bain s’est imposée à nous. Aucun de nos produits ne pouvaient garantir leur absence.
Au delà des risques pour mon endométriose et notre santé, les perturbateurs endocriniens représentent aussi un grand danger pour les futurs enfants que nous comptions avoir un jour.
Et c’est de cette façon que l’idée de moom a germé peu à peu dans notre quotidien. »